Les notes sur le Tag zao wou-ki : blog hautetfort

frédéric tison photographie aquarelle bleu effilage du sac de jute encre de chine enluminure fenêtres dormantes et porte sur le toit france huser hôtellerie l'space est silence larme d'arthur rimbaud le temple des han noir poème en prose poésie prieuré de saint-cosme rendez-vous poétique rené char rimbaud vert vitrail

Le temple de la dynastie Han

Zao Wou-Ki (1920-2013), Le Temple des Han (2005), détail, à l'exposition "L'espace est silence : Zao Wou-Ki", au musée d'Art moderne de la Ville de Paris, photographie : juillet 2018.

Publié le 23/03/2019 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

Zao Wou-Ki (1920-2013), Nous deux , d'après le poème de Henri Michaux (1957), à l'exposition "L'espace est silence : Zao Wou-Ki", au musée d'Art moderne de la Ville de Paris, photographie : juillet 2018.

Publié le 20/03/2019 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

Rendez-vous poétique avec René Char et Zao Wou-Ki

A la fin des années 70, René Char rédige les poèmes en prose d' Effilage du sac de jute qui intégreront le recueil Fenêtres dormantes et porte sur le toit paru en 1979. A cette époque, il entretient depuis plusieurs années une amitié avec le peintre Zao Wou-Ki. Le 8 avril 1980, ainsi qu'en atteste la correspondance en fin d'ouvrage, René Char propose à Zao Wou-Ki d'enluminer...

Publié le 03/12/2018 dans La petite... par Estrella Oscura | Lire la suite...

Traits, lumières & branches

** * Vitraux (2010) de Zao Wou-Ki (1920-2013), dans l'hôtellerie du prieuré de Saint-Cosme, à La Riche, près de Tours, en Indre-et-Loire, photographies : mai 2016.

Publié le 07/01/2017 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

L'encre

Zao Wou-Ki (1920 ou 1921-2013), Sans titre (2007), encre de Chine présentée au Salon Salon international de l'estampe & du dessin, au Grand Palais (10-13 avril 2014), à Paris, photographie : avril 2014.

Publié le 22/06/2014 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

Hommage au peintre ZAO Wou-ki disparu le 9 avril

ZAO Wou-Ki , tout juste arrivé de Chine, découvre Paris le 1er jour d'avril 1948. L'après-midi même, il est au Louvre. Et bientôt, carnets de voyages en mains, il parcourt la France, puis l'Italie et l'Espagne à partir de 1951. En 2006, les éditions Albin Michel nous ont donné à voir les carnets du peintre de 1948 à 1952, dans une sélection assez large (Carnets de voyages ) ....

Publié le 10/04/2013 dans Blog de... par Chun-Liang YEH | Lire la suite...

Larme, d'Arthur Rimbaud

ZAO WOU-KI, Eau-forte et aquatinte numéro 252, 56 x 76 cm, 1974 Loin des oiseaux, des troupeaux, des villageoises, Je buvais, accroupi dans quelque bruyère Entourée de tendres bois de noisetiers, Par un brouillard d’après-midi tiède et vert. Que pouvais-je boire dans cette jeune Oise, Ormeaux sans voix, gazon sans fleurs, ciel couvert. Que...

Publié le 27/12/2012 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Brève rencontre avec Zao Wou-Ki , Extraits de l'interview de France Huser

N.O.-Vous prenez beaucoup de photographies d’arbres, de paysages. Comment expliquer chez vous qui êtes un peintre abstrait, cette nécessité d’un lien constant avec la réalité ? Zao Wou-ki.- Pour m’apprendre à lire, mon grand-père traçait sur chaque objet les caractères qui le désignent : j’ai appris en même temps à dessiner et à lire, à...

Publié le 12/07/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Créez votre blog gratuit ou pro

Notes sur le tag : zao wou-ki

Tags relatifs

Dernières notes